Être amoureux de ce qu'on a connu

Notre cerveau utilise assez souvent des mécanismes de régularisations et de canalisations de nos sentiments, de nos émotions quelquefois très intenses. Qui sont toujours présent et font partie de la vie, de l'exsistence humaine. Ils conduisent à un shéma classique consistant à nous orienter vers des choix, des goûts, des envies qui sont connus examinés, traités, analysés avec soin et ne constituant aucun danger, aucun désordre dans le déroulement des évènements de tous les jours et de ce shéma classique.

Le cerveau n'accepte guère l'inconnu doù l'expression " Zone de conffort ".

Ce qui se traduit par, étant programmé pour assurer notre survie le cerveau considère toutes informations, tous sentiments et émotions étrangères n'appartenant pas à une routine normale ou au shéma classique comme potentiel danger pour nous. Il analyse, interprète nos désirs, nos choix et sensations de ce monde ce qui n'est pour le moins pas une bonne chose vu que notre vision de la réalité est obstruée par une perception quelque fois fausse, influencée par un besoin constant de survie, et existentiel. Proteger du danger, qui très souvent n'est autre que ce dont on ignore ou qui nous est inconnu.

Les mécanismes de survie

L'instinct et la rationalité sont des mécanismes de survie qu'utilise le cerveau, le tout dans un contexte, un ensemble de " Routines ".

Une routine est une habitude mécanique, irréfléchie, et qui résulte d'une succession d'actions répétées sans cesse. C'est une habitude d'agir ou de penser devenue mécanique. La routine peut être considérée comme faisant obstacle au progrès. Elle est acquise plutôt par une longue habitude, par une longue pratique, que par le secours de l’étude et des règles. www.larousse.fr+4
Comme il est dit ci-dessus la routine est un obstacle au progrès mais sourtout un enemi redoutable , associée à un système prédéfinie au survie car ce système peut être corompu par des informations éronées, mal interpretées ou influencées par des éléments extérieurs remettant en cause toute perception d'une réalité exacte.

Être amoureux de ce qu'on a connu

L'amour, est l'un des sentiments les plus complexes que l'humain aie à éprouver, à ressentir.
Un sentiment irrationel, désordonné et irréel ( pour ceux qui n'y croient pas ) ce qui en fait un élément externe assez pertubent, problématique et complètement opposé au système de survie.
Pour y remédier le cerveau va capturer des souvenirs,de joie, de bonheur, de sentiments de bien être tout comme il peut aussi capturer le contraire et l'associé à un certain sentiment de familiarité, de connu, afin de pouvoir opérer dans son champ de domaine et d'utiliser pleinement son potentiel et mécanismes ( rationalité, instinct ). Mais surtout l'instinct qui est une tendance innée à des des actes déterminés.
Ce sentiment de familiarité constitue un problème majeur étant donné que tout système à ses failles en particulier le cerveau ( conscient, inconscient et subconscient ) qui ne peut différé le vrai du faux.
N'importe quel émotion ou sentiment mal géré ou mal interpreté peut changer notre perception de la réalité laissant place à l'imaginaire et au floux

Donc on est juste quelque fois amoureux ou encore amoureux de ce qui a été, ce qu'on a connu pas de ce qu'il y est vraiment. On est souvent amoureux de ce qui nous soit familié, ce qu'on connait.
Des souvenirs passés, des sentiments qu'on a connu, traités et analysés afin d'être immédiatement reconnu quand ils réapparaiteront. On est victime de notre propre ilusion.